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The Society

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Je fais un passage express sur PNG pour te parler d’une nouvelle série « The Society », le nouveau show teenage de Netflix.

Tu es en manque d’inspiration pour passer du temps dans ton canapé en attendant les nouveaux épisodes de Black Mirror et de OITNB ? Ne cherches plus chopes ta télécommande et cliquez sur « The Society » !

Voilà 5 bonnes raisons de binge watcher de ce teen show !

5 raisons de regarder The Society

Le pitch 

On est sur une série pour adulescent-e (young adult). Dès la lecture de la présentation on sait exactement dans quoi on va s’embarquer. The Society est un mélange entre The 100, Under the Dôme et Riverdale. Mais mélange qui pourrait plaire à beaucoup et pourquoi pas donner une autre image de l’expérience sociale.

De quoi ça parle :

The Society est tiré d’une idée du scénariste Christopher Keyser. Les plus de 25 ans reconnaitront ici le créateur de la « La vie à cinq« . La fratrie qui a dû grandir vite et s’entraider après le décès de leur parents. Avec The Society C. Keyser a fait une adaptation moderne de « Sa majesté des mouches » de William Golding.

Dans le roman l’action se passe sur une île desserte après la disparition d’un avion rempli de jeunes garçons de bonne famille. Ici, on se retrouve dans une ville bourgeoise du Connecticut. Tout les étudiant-es d’un lycée privé se retrouve enfermé-es / coincé-es dans une ville semblable à la leur. Les accès pour en sortir sont fermés par de la végétation, comme si la nature les avaient encerclé-es. Oui un peu comme dans Under The Dome. Je vous avais prévenu

Et comme dans The 100, cette nouvelle communauté sans autorité parentale, va devoir cohabiter, survivre et surtout savoir pourquoi ils et elles sont bloqué-es ici. Comme souvent au début tout est idyllique : plus de parents = liberté. Mais si tu êtes un-e adepte de ce type de série tu te doutes bien que ça ne va pas durer. Il va falloir choisir un-e chef-fe, mettre en place des règles, les faire respecter et par dessus tout faire preuve d’entraide.

On suit un groupe principal, qui en fonction des intrigues et autres événements va varier et voir d’autres membres se greffer. Comme à chaque fois que l’on est à huit clos, on voit se détacher des personnalités plus ou moins attachantes. On va se reconnaitre et finir par se demander qui on pourrait être à leur place. C’est en ça que l’on s’accroche à la série.

L’ambiance

L’ambiance à une bonne part dans la réussite de The Society. Le sujet a été souvent abordé surtout dans les séries pour ado. Là on sait qu’il est peut probable de voir intervenir de nouveaux personnages. Dans le sens de nouveaux arrivants. Quoi qu’ils ont bien réussi à le faire dans Lost… Mais bon espérons que The Society ne parte pas autant en sucette et nous propose une fin digne de ce nom.

Donc ici, dans cette petite ville du Connecticut tout le monde se connait ou presque. Ils-elles viennent tous du même lycée, on retrouve donc les bandes de base : intello, sportif, populaire, geek, les invisibles et les pas très fréquentables. On se doute que chacun aura un rôle a jouer dans le déroulement de l’intrigue mais sous quelle(s) forme(s).

Qui va la perdre la tête ? Ou se sentir pousser des ailes pour se faire une nouvelle vie ? Qui va montrer son vrai visage ? …

Rien de nouveau et pourtant…

Comme tu peux le voir pour l’instant rien de nouveau sous le soleil et pourtant tu es peut-être comme moi et tout ceci te titille. Ben oui ! Comment les scénaristes vont réussir à nous donner envie de mater The Society sans nous apporter un vrai scénario innovant ? Peut-être bien avec les personnages et les acteur-trices…

Les acteur-trices et personnages

Dès le début de The Society certains personnages et leur interprètes se détache du lot :

Kathryn Newton qui joue Allie. Elle a été vue dans Big Little Lies. Ici, c’est l’ombre de sa grande soeur. Elle va devoir faire sa place maintenant que le lycée ne joue plus son rôle de cadre hiérarchique.

Kristine Froseth qui a joué dans Harry Québert. Elle tient le rôle de Kelly discrète au bras d’un garçon populaire mais mais mais elle cache un petit quelque chose de mystérieux. Peut-être son goût pour les mauvais garçons…

Sean Berty vu dans Switched at birth. C’est le petit frère dans bad boy, beau gosse. Lui, c’est tout l’inverse : discret, serviable, bon copain. Sourd de naissance il a su faire sa place au lycée avec sa bonne bouille et son sourire. Comme ça il a l’air pas très intéressant mais je pense que 2-3 petites histoires vont lui tomber dessus. Déjà c’est le frère du bad boy, en plus il est gay et puis il est dans le comité de décision… Donc on est d’accord il va y avoir un truc ! Et puis l’acteur est trop bien…
PS : d’ailleurs si tout le monde pouvait avoir quelques bases en LSF (langue des signes française) ou ASL (version américaine) ça pourrait aider. C’est comme savoir quelques mots d’anglais ou espagnol, c’est toujours mieux pour l’intégration 😉

Et enfin Natasha Liu Bordizzo pas très connue il me semble, là elle tient le rôle de Helena. Et franchement y’a moyen qu’elle monte en puissance. En tout cas ce qui est sur c’est qu’elle a plus d’un tour dans son sac ^^

Ça y est tu commences à te dire qu’il est possible que tu te cales un aprèm devant ?

La bande annonce

Bon c’est vrai que généralement les bandes annonces sont hyper vendeuses et une fois que tu es devant tu es so disappointed ! Mais là en plus de ne pas te donner toute l’intrigue, elle te met l’eau à la bouche juste ce qu’il faut pour que tu cliques sur la suite.

https://youtu.be/vUAzWfKOXEw
Alors alors… ? 😀

En plus, ce qui n’est pas un luxe, tous les meilleurs moments ne sont pas dans la BA ^^ Alors va y cliques, tu as rien à perdre. De toute façon tu n’as plus rien à regarder et quoi qu’il arrive ton abonnement sera quand même payé 😛

La raison bonus

Oui, bon je ne savais pas quel titre donner à cette 5e raison. C’est simplement que si tu hésites encore ben dis toi que la saison 1 compte seulement 10 épisodes. Ils durent environ 50 min et la bande son est plutôt pas mal du tout.

Alors tu vas regarder ?